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08/12/15

24456 habitants du Dunkerquois ont participé à la votation sur l'aménagement de la place Jean Bart. La consultation citoyenne organisée par la CUD est un véritable succès !

Votation pour la place Jean-Bart : un vrai succès démocratique !

Depuis fin 2014, le projet de réorganisation du réseau de transport public urbain, Dk'plus de mobilité fait l'objet d'une large concertation.

La place Jean-Bart concentre des enjeux importants d'animations de centre-ville. Elle est le cœur commercial de l'agglomération et constitue un nœud de circulation… L'aménagement de ce site mérite une attention toute particulière qui a amené Patrice Vergriete, Président de la Communauté urbaine et les élus communautaires à organiser une votation.

Entre le 17 novembre et le 7 décembre 2015, les habitants des communes de Coudekerque-Branche, Dunkerque, Grande-Synthe, Fort-Mardyck, Leffrinckoucke, Mardyck et Saint-Pol-sur-Mer étaient appelés à s'exprimer sur le projet d'aménagement de cette place. Ils avaient le choix entre la création d'une zone de rencontre et une piétonisation partielle.

A 56,74 %, ils se sont prononcés pour la piétonisation d'une partie de la place Jean-Bart. Par ce choix, les Dunkerquois marquent leur volonté de rendre plus facile le cheminement des chalands et de rendre les commerces plus attractifs.

Comme le rappelle Patrice Vergriete, "Avec cette votation, la Communauté urbaine de Dunkerque a lancé une démarche inédite en France, à l'échelle intercommunale. Cette votation montre que notre conception de la démocratie est celle attendue par nos concitoyens.

La votation autour de la place Jean-Bart ne constitue pas une fin en soi, mais une étape dans le dialogue engagé avec les habitants pour dessiner l'agglomération de demain et donner un nouveau souffle au Dunkerquois. Le dialogue autour du projet Dk'plus se poursuivra dans les prochaines semaines.

Les différents débats engagés sur des enjeux tels que la mobilité, l'emploi ou l'eau, prouvent qu'il est possible de créer une relation différente avec le citoyen et de faire de la politique autrement".